I] Civilité
Nom : Levinsbird
Prénom : Violette Elébore
Date de naissance : 9 mai, âgée de 15 ans à ce jour (étudiante en 5éme année)
Lieu de résidence : Violette vit avec ses parents dans une petite ville située à quelques heures de Londres. Sa maison est assez ancienne, entourée d’un jardin mal entretenu et d’un petit bosquet d’arbres. Elle comporte deux étages et une dizaine de pièces.
Animal de compagnie : Une chouette aux nuances grises, nommée Acide
Avatar : Inconnue
Présentation physique (50 mots environ) :
Violette n'a pas un physique exceptionnel. Une taille moyenne, de profonds yeux marrons foncés, des lèvres minces, une peau blanche constellée de tâches de rousseur et des cheveux châtains, lisses qu'il lui arrive d'attacher hâtivement en queue de cheval ou autre. Violette a toujours parue moins âgée que ce qu'elle n'est en réalité. Plus jeune, cela la mettait en colère, mais à présent, elle y accorde peu d'importance.
Malgré son physique plutôt passe partout, il se dégage d'elle une certaine légèreté, dans sa manière de se déplacer, de bouger, et même de parler. Son apparence physique est en général soignée, elle y apporte l'importance nécessaire, sans tomber dans l'excès. Le choix de ses tenues lui prend par contre beaucoup de temps, mais elle considère plus cela comme un jeu que comme une contrainte ou une obligation.
Baguette : La baguette de Violette mesure 19 cm, est faite en bois de hêtre et contient un poil de Kneazle. Sa décoration est très basique, seule une des extrémités (celle prévue pour le maintien) a un diamètre un peu plus large et est décorée d'inscriptions indescriptibles (certainement des runes).
II] Histoire : (200 mots)
Violette est de sang-mêlé. Son père, Benjamin Levinsbird est un sorcier et travaille au Ministère de la Magie dans le département des archives magiques. Ce n’est que bien après avoir terminé ses études dans la maison de Gryffondor qu’il rencontra Jane Flowburtsky, une moldue professeur de Physique et Chimie dans un lycée, et c’est encore cinq années plus tard qu’ils décidèrent de se marier. Quand Violette fit son apparition, ils venaient tout juste de s’installer dans une nouvelle maison (qui n'était pas si nouvelle que ça puisqu' ils l’avaient rachetée à une vieille guérisseuse à la retraite qui avait décidé de réaliser son rêve et de partir faire le tour du monde). Ainsi, Violette grandissait tandis qu’autour d’elle, la maison se remplissait de divers objets aussi bizarres les uns que les autres (de la pensine d’occasion complètement défaillante jusqu’au nouveau téléphone mobile). Dans cette maison, perçue aussi bizarrement par les moldus que par les sorciers, la personnalité de Violette se développa peu à peu. Elle apprenait avec l’aide de Jane à déchiffrer les mots compliqués qu’on pouvait lire sur les couvertures des livres qui tapissaient le bureau de son père, en décorait un ou deux qu’elle trouvait un peu trop tristes avec l’aide de ses crayons de couleurs, chipait n’importe quelle baguette magique qu’elle pouvait trouver afin de l’agiter dans tous les sens (réussissant à mettre le feu aux boucles de sa poupée), se déguisait pendant des après-midi entiers à l’aide des vieilles capes et robes farfelues de sa grand-mère, se promenait dans le jardin en faisant grimper des bêbêtes le long de ses doigts ou restait simplement assise à côté d’une fenêtre, souvent les jours de pluie, à regarder le paysage humide en s’inventant des histoires.
Lorsqu’elle eut quatre ans, un évènement vint bousculer la vie tranquille de petite sorcière qu’elle menait : Capuine, un bébé qui d’après ses parents était sa « petite sœur ». Durant les semaines qui suivirent son arrivée, Violette observa toute cette agitation d’un mauvais œil et il n’était pas rare qu’un de ses jouets vienne accidentellement donner un petit coup sur la tête de Capucine. Mais avant que cette dernière apprenne à marcher et à parler, sa grande sœur eut le temps de s’habituer à elle, et lorsque Capucine eut enfin l’âge de jouer à prendre le thé, Violette admit finalement que sa sœur n’était pas qu’une « petite larve de troll ».
Violette n’allait pas à l’école de son quartier. Ses parents avaient préféré lui donner des cours à la maison et c’était sa mère qui s’était chargée de lui apprendre à lire, à écrire et à compter. Violette se révélait être une élève attentive (sauf les jours où elle décidait qu’elle avait plus envie de faire de la balançoire que d’apprendre les additions) et bientôt, elle prit l’habitude de s’endormir dans un fauteuil rembourré, un livre un peu trop compliqué pour elle sur les genoux. En effet, elle prit rapidement goût à la lecture. C’était pour elle un moyen d’en apprendre plus sur le monde, de rêver ou simplement de passer le temps. Cette passion lui permettait également d'en apprendre un peu plus sur le monde, elle qui quittait si rarement la maison.
Elle était très fière de lire des histoires de princesses et de magie à Capucine pour l’endormir, qui l’écoutait avec plus ou moins d’attention. A l’âge de huit ans, Violette eut une idée brillante : elle décida d’écrire sa propre histoire inventée, toute seule sans l’aide de personne. Après beaucoup de réflexion et d’efforts, il en résulta trois feuilles recouvertes d’une écriture vacillante et appliquée, racontant l’histoire de Lucy, une petite sorcière partie à la recherche d’un trésor magique et secret. Elle fit corriger le tout par sa mère (malheureusement pour elle, elle avait encore des progrès à faire en orthographe) qui lui assura qu’elle avait apparemment un bon espoir de devenir auteur. Elle continua donc, de temps à autre à écrire deux ou trois bouts d’histoires qu’elle conservait dans un cahier.
Mais Violette avait beaucoup d’autres passe-temps que la lecture et l’écriture, qui restaient tout de même ses favoris. Elle aimait également la mode, ou plutôt les vêtements. Sa mère, qui se préoccupait bien peu de la manière qu'on avait de s'habiller, ne lui avait jamais imposé de se vêtir d’une manière ou d’une autre et avait toujours laissé sa fille porter exactement ce qu’elle avait envie (à condition qu’elle soit protégée du froid, du soleil et des autres intempéries). N’allant pas à l’école, Violette n’avait pas non plus eut à subir la pression des pairs, autant pour le code vestimentaire que pour le reste. Ainsi, pour quiconque ne vivait pas au 19, rue des Noisetiers, la manière que Violette avait de créer ses tenues pouvait paraître surprenante. A l’âge de neuf ans par exemple, elle adorait porter une jupe droite et fluide (dans laquelle on pouvait bouger aisément) décorée de pois blancs et rouges sur un fond noir. Elle l’accompagnait souvent d’un polo à rayures bleu marine, blanches et rouges orné de boutons en nacre montant qu’au cou. A cette époque là, elle adorait porter des lunettes sans verres à monture bleu marine qui, d’après elle, lui donnaient un air intellectuel. Elle aimait également, et aime toujours, les chaussettes hautes et colorées, à porter avec des ballerines ou de bottes basses à lacets ou encore, les colliers un peu bizarres, les capes à col montant, les bracelets étranges, les broches en tout genre et les ceintures originales. Mais les accessoires qu’elle préférait par-dessus tout étaient les chapeaux. Elle en avait une collection impressionnante. Évidemment, en bonne sorcière qu’elle était, elle en avait une dizaine à bout pointus, du noir classique au violet pimpant décoré de plumes de paon et de grelots, mais elle affectionnait aussi les bonnets en laine à pompons, les bérets français, les hauts-de-forme de magicien, les bonnets péruviens, les chapeaux melons et les toques russes. La seule personne, peut être, qui était habituée aux accoutrements inhabituels de Violette en dehors de sa famille était Charlotte, une petit fille moldue de son âge qui habitait dans la même rue qu’eux et que Violette avait rencontrée un jour de pluie, en ramassant des feuilles d’automne pour les coller dans un cahier. Elles s’étaient tout de suite bien entendues, Charlotte n’avait fait aucune remarque sur les bottes en caoutchouc roses de Violette, ni sur sa cape en plastique transparent qui accompagnait un chapeau fait de la même sorte. Elle avait aidé Violette à ramasser les plus belles feuilles qu’elle pouvait trouver, puis, Violette lui avait demandé si elle avait envie devenir boire un chocolat chaud chez elle. C’était la seule manière qu’elle avait trouvée de montrer sa reconnaissance envers Charlotte et celle-ci avait accepté, apparemment ravie. Quand Charlotte avait débarqué dans la maison ce jour là, sa mère avait d’abord paniqué et s’était empressée de cacher tous les objets magiques qu’elle pouvait de la vue de la petite fille, ce qui avait rappelé à Violette la règle élémentaire selon laquelle aucun moldu ne doit connaître l’existence des sorciers. Mais cet incident étouffé, elles passèrent une après-midi très agréable, et Violette fut souvent invitée chez Charlotte après cela. Elle aimait d'ailleurs beaucoup aller là-bas, cela lui faisait découvrir un nouvel univers, autre que le sien, qu’elle trouvait incroyablement intéressant. Et puis, il y avait Julian, le grand frère de Charlotte que Violette trouvait lui aussi intéressant. Jusqu’au jour où il débarqua dans la cuisine accompagnée d’une fille de son âge, alors que Violette et Charlotte mangeaient des biscuits en essayant de terminer un puzzle. Julian passa tout son temps à embrasser la fille qu’il avait ramenée (d’ailleurs, Violette lui trouvait un air stupide à celle là) et depuis ce jour-là, elle se promit de toujours respecter les règles de politesse envers le frère de son amie, mais de ne jamais lui montrer trop d’amabilité.
Violette, dont les pouvoirs s’étaient révélés petit à petit depuis sa naissance, avait toujours plus ou moins su qu’elle devrait se rendre à l’école de magie Poudlard lorsqu’elle atteindrait l’âge de onze ans, et d’ailleurs, cela la remplissait de curiosité et d’excitation. Mais elle n’avait pas prit le temps d’y réfléchir vraiment, mis à part une ou deux fois lorsque son père daignait lui donner quelques détails sur l’endroit. Elle fut donc plutôt surprise de trouver, un matin, sur la table de la salle à manger une lettre adressée à son nom, elle qui ne recevait jamais de courrier. Dés les premières lignes néanmoins, elle devina qui était l’expéditeur et son cœur se mit à battre comme jamais. Elle eut envie de rire, de pleurer et de crier en même temps. Cette fois, c’était réel, elle allait vraiment partir étudier à Poudlard, avoir sa propre baguette, se faire des amis, quitter sa maison et apprendre de nouvelles choses extraordinairement excitantes.
III]Caractère (100 mots environs):
Comme il est dit précédemment, Violette aime par-dessus tout l'écriture et les vêtements. Elle trouve que ce sont d'excellents moyens d'expression. Quant à la lecture, c'est plutôt pour elle une source d'inspiration pour à peu près tout ainsi qu'une habitude agréable dont elle ne pourrait plus se passer, quand bien même elle le voudrait. C'est pour elle un réflexe à présent d'ouvrir un livre dés qu'elle a un peu de temps libre ou qu'elle s'ennuie. Ces trois passe-temps, la jeune sorcière les a tout d'abord partagés avec son amie moldue Charlotte, et n'a donc aucun préjugés quant aux personnes n'ayant pas de pouvoirs comme sa mère et beaucoup d'autres membres de sa famille qu'elle respecte tout autant que n'importe quel sorcier.
Il arrive souvent à Violette de grignoter bon nombre de choses pendant ses lectures. Elle a toujours adoré les fruits, avec une préférence pour les cerises, les framboises et les pastèques. Le chocolat est aussi un de ses pêchés mignons (les chocogrenouilles étant ses sucreries sorcières préférées).
Ainsi, Violette est calme, plutôt sérieuse, un peu loufoque, assez drôle, particulière mais sensée, amicale, légèrement timide, passionnée, gourmande, attentive, un tantinet égocentrique, un soupçon autoritaire ainsi que tête en l'air. Sa personnalité fait d'elle une personne facile à vivre, la plupart du temps.
IV]Ambitions pour le personnage :
Violette n'est pas encore exactement fixée quant au métier qu'elle aimerait exercer plus tard. Son plus grand rêve serait de publier des histoires et d'en vivre, mais elle sait ne pas avoir assez de talent pour cela. Ainsi, elle pense également à une carrière de professeur à Poudlard. Ses matières préférés sont les sortilèges et la métamorphoses, et ce sont celles qu'elle aimerait le plus enseigner.
A Poudlard, elle s'est notamment liée d'amitié avec Suzon Passerose, une élève de Serdaigle de la même année qu'elle. Leur amitié s'est nouée autour des couvre-chefs car Suzon les affectionne tout autant que Violette, si ce n'est plus. Violette a également un autre ami dans sa maison, qui s'appelle Eliot de Rosan (qui n'interviendra pas souvent dans les rp).
VI] Maison de prédilection :
Serdaigle sans hésiter !! Avant de venir à Poudlard, Violette souhaitait atterrir à Gryffondor parce que c'est là que son père était mais Serdaigle est la maison idéale pour elle, qui est réfléchie, travailleuse et qui aime le calme et l'apprentissage.
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Dim 6 Déc - 17:37
